Le petit reporter : Fortaleza del peso :

La reciente apreciación del tipo de cambio en el país no representa ningún riesgo para la economía, por el contrario es un reflejo de su fortaleza, aseguró el gobernador del Banco de México (Banxico), Agustín Carstens.
Durante su comparecencia en el Senado, el funcionario del instituto central dijo que si el país crece con un dinamismo más elevado que el de Estados Unidos, tiene una mayor fortaleza fiscal y salud en su sistema financiero “es de esperarse una apreciación”.
Añadió que la fortaleza de la moneda no es artificial y es resultado de los fundamentales macroeconómicos de México, que hoy lo distingue como un destino atractivo para los inversionistas foráneos.

El gobernador del Banxico admitió que la actual fortaleza del tipo de cambio es un factor que no ayuda a los exportadores.

Sin embargo, enfatizó que no por ello un país deba sostener su crecimiento o su vocación exportadora a través de un tipo de cambio subvaluado.
“Si México entrara en una política donde el Banco de México buscara activamente mantener su tipo de cambio subvaluado, eventualmente eso generará inflación y las ganancias que tuviéramos se erosionarían”, detalló el gobernador.

“La política cambiaria no puede ser el factor fundamental que sustente la vocación exportadora del país; nosotros hemos tratado de mitigar, de ponerle grava a la apreciación del tipo de cambio y parte de eso es la acumulación de reservas internacionales; si esos influjos no los hubiéramos adquirido, la paridad estaría a 10 pesos por dólar”, explicó.

Carstens mencionó que otras medidas que se han utilizado es la reciente disminución en la tasa de interés interbancaria a un día, esto con la finalidad de disminuir el atractivo de inversionistas en México o la suspensión de la subasta diaria de dólares.

Articulo de "El universal" por Alicia Ricalde Magana.

La récente appréciation du taux de change dans le pays ne pose aucun risque pour l'économie, en revanche, c'est un reflet de sa force, a déclaré le gouverneur de la Banque du Mexique (Banxico), Agustin Carstens.

Lors de sa comparution devant le Sénat, le responsable de la banque centrale a indiqué que si le pays se développe avec une dynamique plus élevée qu'aux États-Unis, il dispose d'un système fiscal plus solide fiscale et un système financier plus propre.
Il a ajouté que la monnaie forte n'est pas artificiel c'est le résultat des fondamentaux macroéconomiques du Mexique actuels, qui distingue, ce pays, comme une destination attrayante pour les investisseurs étrangers.

Le directeur de Banxico a admis que la force actuelle du taux de change est un facteur qui aide les exportateurs.
Mais il a souligné qu'aucun pays ne devraient donc soutenir leur croissance ou leur exportation par le biais d'un taux de change sous-évalué.
"Si le Mexique est entré dans une politique où la Banque du Mexique cherchera activement à maintenir le taux de change sous-évalué, elle finira par générer de l'inflation et dégrader les profits faits", a expliqué le directeur.

"La politique de change ne ​​peut pas être le facteur clé qui soutiens le pays vers l'exportation. Nous avons essayé d'atténuer l'appréciation du taux de change et une partie de cela est l'accumulation de réserves internationales; si nous n'avions pas ces influences, la parité serait de 10 pesos pour un dollar », a-t-il déclaré.

Carstens a déclaré que d'autres mesures ont été utilisés, la baisse récente des taux d'intérêts bancaires, dans le but de réduire l'attractivité de l'investissement au Mexique ou la suspension de la vente aux enchères quotidienne de dollars.

Article parut dans "El universal", écrit par Alicia Ricalde Magana.